I
les âmes marchant seules
les étoiles voyageant sans itinéraire
mes yeux transitent vers l’infinité
sans rien trouver.
et je l’attends encore fois.
Ce sont des frontières
celles qui m’attirent, me jettent et me réveillent :
il n’y a pas d’abîme
que des souvenirs rempli peut être.
si on parte de l’idée
que le paradis n’existe pas.
Je te donne ma vie si tu me enseignes
à vivre sans attendre
à savoir marcher sans l’ombre
de l’illusion de mon prénom écouter.
II
je dois croire que mes sommeils sont la vérité
finalement cette vie un sommeil est déjà.
Après de me lever
j’effeuillerai des tournesols, des papillons et des nuages :
tous sont les mêmes
tous cachent ce coeur.
le savon du hier ne sert bien pas.
J’irai pour l’eau du baptisme
Il est nécessaire de commencer encore fois.
III
des pommes de la nostalgie
les raisins de l’envie
et la fruit de la passion
On attend quelque chose
sauf la rentrée de la belle noire :
c’est triste imaginer la danse des étoiles
sans un corps pour y danser là bas.
j’espère de ne me réveiller pas.
et sous sa peau tendre
elle m'invite à graviter
pour l’inconnu d’un ciel
teint des oranges, des roses et des carmines.
par le trace des pieds de un être
qui marche sans envie de la vie
-comme moi-).
tu est à mon côté déjà
tu me vois, tu me touches
tu me conçois dans ta terre sans duter
sans luter et sans crier…
à change de tes minutes avoir.
(Je te dit une et autre et autre fois)…
IV
comme si tu jamais m’avait regarder avant :
ils sont noirs de hors,
mais tous blancs dedans.
ta peau ridée sur mes élans »…
(Je te dit une et autre et autre fois)…
danse avec moi
au même temps je te montre
la belle nuit et ses étoiles ».
c’est la danse de quatre yeux en ayant
trouvé la grâce de cette rencontre
la grâce de nos quatre mains entretisser.
c’est la morte des pensés
fermés dans la boîte d'auparavant
eux essaient de revivre le temps
seulement le chagrin...
incertitude de ceux qui ne connaissent pas
le douleur derrière l’invisible
l’escalier dispparue aux infernes
sans passeport.
c’est la chance d’ouvrir le monde
où les fées habitent.
C’est la nuit de notre trésor caché
ouvert à l’intention de respirer
l’air de notre lumière
enchaînée par l’extasies de la croyance
que tout pourra bien changer
elles sachent bien pour quoi aujourd’hui nos mains rirent
elles gardent le secret dans leurs pistils.
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